Dans la pénombre d'une nuit, vous entendez des sanglots. Ils résonnent comme de l'eau gouttant dans une caverne. Vous reconnaissez dans cette tristesse les hoquets d'une enfant. En alerte, vous vous laissez guider par votre ouïe : il faut aider cet enfant. Alors, vous la voyez enfin. Elle se cache dans ses genoux, son dos se soulève à chaque larme. « Tout va bien ? Tu as besoin d'aide ? » Vous attendez une réponse. Elle relève sa tête.
Il ne faut jamais regarder Romero dans les yeux.
Face à ces énormes orbites vides, la terreur vous prend. Vous ne pouvez plus bouger. Vous êtes pris au piège, et elle vous saute à la gorge.
Ne vous méprenez pas, elle ne vous en veut pas personnellement. Elle en veut à votre vie. Elle hait tous ceux qui vivent. Elle est obsédée par la vie. Elle veut votre vie. Et elle tire sa seule satisfaction dans l'impression de vous tuer, devant votre visage blanc de peur, mais blanc comme mort. Née jamais vraiment morte, mais jamais vivante non plus, Romero vous piègera fera tout pour vous vider de votre sang.
A moins que vous ne la regardiez pas dans les yeux. Je vous ai prévenus.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Ophélie n'est aimé de personne, ni même apprécie de quelqu'un. Les Nightmares le renient, les Slumbers vont probablement se moquer de lui, et même Ephialtès ne le considère pas comme un des leurs. Ou plutôt, comme une erreur de calcul. On l'oublie donc.
S'il est autant détesté, c'est qu'il est considéré comme un Nightmare raté. Ophélie a une phobie terrible de l'eau. Mais il a eu la malchance, durant sa transformation de se voir toujours recouvert d'eau pour l’éternité. Ce qui fait que le jeune Nightmare est toujours en panique, en proie à une paranoïa terrible qui le rend effrayé de tout, de chaque toucher, chaque mouvement, chaque souffle. Tête de turc des Nightmares, sa peur l'enferme dans une caverne d'illusions, l'empêchant de se rendre compte de tout ce mépris. On le croit pathétiquement inoffensif. A tort.
Il est le plus imprévisible des ½Nightmares, car cette paranoïa constante le pousse à des crises de démences. Je vous déconseillerai d'être à ses côtés lorsqu'il sombre complètement dans son obscure folie.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Empli de vices infects et rampant, les pires que vous pouvez imaginer, Alexandre se délecte de votre souffrance ; non, mieux, il se délecte de la souffrance qu’il vous fait endurer pour son bon plaisir. Et quel plaisir, si vous saviez ! Il tire de ses actes pervers et malsains une jouissance extrême dont vous ne vous doutez même pas. Du sang, des cris, des pleurs, des supplications venant de vous, de votre propre gorge, c’est le plus beau des cadeaux ; il en demande, en redemande tout le temps. Alex, il vous aide à atteindre les tréfonds de l’enfer avec un sourire sadique aux lèvres ; ah oui ça l’amuse si fort, ça le fait tellement rire ! Votre chute physique, vos larmes, quand vous le suppliez d’arrêter, qu’il vous fait répéter ces mots comme « pitié », « je t'en prie », mais le jeu n’est pas terminé, loin de là, il ne te lâchera pas avant de se sentir pleinement vidé et éreinté, oui, il continuera, inlassablement, y prenant tellement de plaisir.
On craint Alex, ce tyran, ce sadique, ce fou à lier, ce psychopathe, votre cauchemar personnel. On le redoute, on l’évite, on ne croise pas son regard, on préfère regarder ses pieds quand on le voit arriver, on préfère chuchoter ou ne plus parler, pour éviter qu’il ne vous remarque, qu’il s’approche, qu’il veuille s’amuser avec vous ; car les jeux d’Alex, on en entend beaucoup trop parler. Ça part beaucoup trop loin avec lui. Et Alexandre lui, il rit, il rit à s’en décrocher la mâchoire, putain ce que ça le fait kiffer de vous voir comme ça, ramper comme des larves qu’il meurt d’envie d’écraser, de disséquer.
Évitez de rencontrer Alex, c’est tout ce qu’on pourrait vous souhaiter ici. Vous y laisseriez plus que votre âme. Il vous mangera. Comme festin ou comme casse-croûte, cela déprendra de votre résistance physique et de son humeur. Oui, évitez de croiser Alex.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Lorsque l'on erre à Nightmareland, une chose nous frappe : la lune est partout. Sur tous les cieux elle s'accroche, énorme, oppressante. Elle domine l'entièreté du pays des cauchemars. Mais, avouez-le, la lune vous a toujours dominé. Dans les contes, c'est elle qui force les homme à la transformation. C'est sous sa protection que les êtres hideux s'éveillent. C'est sa puissance qui fait de la mer la couverture des cadavres.
Et lune, vous l'avez aussi là, devant vous. Quant à craindre celle du ciel ou celle à apparence humaine, je pense que votre choix sera vite fait.
Pierrot s'impose et en impose, et celle sans violence. Son être dégage une puissance, un absolu que personne n'oserait contredire. Contrairement à d'autres Nightmares, elle n'a pas besoin de la souffrance, de la rhétorique ou de la peur pour établir un empire. Lorsqu'on l'a devant soi, sa toute puissance est évidente. Elle est l'empire. Elle nous domine, sans mots, sans cris, et nous n'avons d'autre choix que de se soumettre.
Pierrot ne se contente pas de vous voir écrabouillés sous ses pas. Ce qu'elle veut, c'est tout. Elle veut les Slumbers comme esclave et les Nightmares comme peuple. Vous avez bien compris, son ambition ultime est de prendre la place du Roi des Cauchemars, Ephialtès.
Assoiffée de domination, vous savez maintenant pourquoi Morpheus n'a jamais voulu de lune à Slumberland.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Même les Nightmares ne connaissent pas Atropos. Mais ils sont tous obligés de lui obéir, car Atropos, elle est la Mort. Et s'il y a bien une seule chose que même les plus mauvais d'entre eux craignent, c'est bien l’annihilation totale de l'existence.
La Mort, quand bien même tant d'humains ont essayés de la représenter, n'a pas de visage. Personne ne peut se reconnaître dans la Mort, et tous se sentent fortement intimidé. La Mort ne parle pas, mais lorsqu'elle donne des ordres, ils sont toujours compris. Il vaut mieux ne jamais mal interprété un ordre d'Atropos, elle est intransigeante. Beaucoup s'interrogent sur son essence. Si elle pouvait parler, elle vous dirait que la mort, comme tout mal, vient d'un commencement. On dit qu'elle est le bras droit d'Ephialtès.
On dit aussi d'Atropos qu'elle est la seule à pouvoir répandre la mort, que ce soit à Nightmareland ou Slumberland. A ce jour, dans ces deux mondes, on ne connait qu'une seule personne qui a réussi à disparaître, et il s'agit du roi Morpheus.
C'est pourquoi la rumeur dit qu'elle aurait créé le poison ayant servi à tuer le roi des rêves.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Odile est le plus dangereux de tous les Nightmares. Car personne, mais au grand personne ne pense un seul instant à se méfier de lui.
Le cygne parle bien. Mais il parle trop bien. Il vous murmure des phrases en assurant son innocence, manie les mots de façon à ce que vous ayez toujours de l'affection pour lui, manipule sans scrupules vos idéaux pour que vous vous donniez sans hésiter.
Tout le monde à confiance en Odile, mais une fois que vous êtes entre ses mains, vous êtes perdus. C'en est finit de vous.
Un humain est terminé à partir du moment où il n'a plus le contrôle de son âme. Et si Morpheus en faisait une entité intouchable, Odile va la réduire en miette.
Il prendre cette confiance que vous lui avez accordé, victime de ses mensonges, et va en faire de la pâture. Votre âme entre ses mains sera un jouet dont il ne sera lassé à sa destruction. Non, plus qu'un jouet, une œuvre d'art. Il se pense comme un artiste, et pense la destruction comme la finitude de la perfection.
Odile est un génie, un virtuose de l’annihilation. Il serait capable de faire de vous un Nightmare, et ça, vous ne vous en doutez même pas.
Et je vous souhaite de ne jamais entendre ses mots.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

Asmodée est la seule Originelle a avoir trouvé le but de son existence avant l'intervention d'Ephialtes : vous. Dès l'instant ou le cauchemar l'a créé, elle a senti ses entrailles bruler, et comprit que ce brasier ne s’apaiserait que si elle ne cessait de consumer des victimes avec elle. D'où son sourire carnassier, son attitude aguicheuse, et son désir vous de vous embrasser, toucher, palper, sentir.
Cela aura pu être beau, cela aurait pu être de l'amour, du partage, de la générosité, peut-être. Mais Asmodée, léchant ses lèvres, se délecte de vous corrompre, vous pousser à bout, vous tenter, vous salir, vous pervertir, vous rejeter, vous reprendre, vous insulter, vous soumettre, vous contrôler, vous blesser, et surtout, ne jamais vous aimer. Elle veut son plaisir, mais elle n'a jamais souhaiter le votre.
Si jamais vous n'avez pas la force de lui résister, plus jamais vous ne pourrez regarder votre reflet. Le cauchemar aura définitivement pénétré en vous.
Ce n'est pas le Démon pour rien, Asmodée.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.

C'est autour des enfants que l'on trouve le plus souvent Teddy Bear. Quoi ne plus sensé, pour un doudou ? Elle se penche à leur hauteur pour leur donner confiance, se laisser cajoler lorsqu'ils ont de l'affection à revendre, et les câline lorsqu'un gros chagrin les mine. Ses doigts ont essuyés des larmes et ses lèvres chanté de rassurantes berceuses. Plus qu'une mère, elle est pour chaque enfant qu'il croise, son doudou. Et vous savez à quel point cette peluche est importante au cœur d'un innocent bambin.
Alors on se le demande tous. Comment cette femme, cette apparence qui tient tant de la peluche avec ses oreilles et sa queue animale, que l'on meurt envie d'étreindre pour sentir la douceur de sa peau, comment pourrait-elle être un Nightmare ?
Disons que, Teddy Bear n'est rien d'autre qu'une pédophile. Et le pire, c'est que tous les enfants se laissent charmer par leur doudou qui leur donne tant de bonheur, et finissent inévitablement par se faire avoir.
Lorsque vous dormiez, la nuit, vous ignoriez ce que votre doudou faisait.
Maintenant, vous savez.
Mais elle, vous scandera qu'elle est une incomprise.

« Mmh. Mmh. Oui. Je sais. Oui, Coppélia. » Voilà comment se déroule la relation entre les deux jouets. Coppélia le rabaisse et le jette sans cesse. Dolly, lui, l'écoute sans cesse. Contrairement aux apparences, la compagnie de la tyrannique marionnette lui est agréable. Au moins, elle ne le fuit pas avec un dégoût sur le visage. Alors, il se laisse faire et parfois, il semble sourire. Par contre, il eut un jour le malheur de pleurer devant elle (sans larmes, par contre, c'est une poupée). Depuis, elle ne cesse de le lui reprocher à chaque rencontre. Plus jamais, il se l'est promis.